Nathalie Fournier-Bidoz
DEA Toulouse 1983
C'est une bien triste nouvelle, qui nous oblige à nous rappeler tout ce que notre profession et chacun de nous lui devons personnellement.
Je me rappelle de ses cours, de la foi qu'elle avait dans la physique médicale et de l'énergie qu'elle dépensait à nous la faire comprendre et aimer.
Un jour, en stage à l'IGR, elle avait servi le café à tous les présents, y compris moi, ce qui m'avait beaucoup gênée et fait rougir tant je l'admirais déjà.
C'est elle qui m'a orientée pour le choix de mon premier poste à Lyon Sud avec Irénée Sentenac. Ce qui a été une grande chance.
Sans elle, je n'aurais pas eu cette passion presque religieuse pour la physique médicale.